Selon la gazette des femmes, prendre soin d’autrui est très valorisant. Mais lorsque ce soin n’est plus un choix, qu’il représente une charge mentale et physique et qu’il appauvrit, peut-on en dire autant? Le vieillissement de la population accroît cette pression, chaque jour. Quelles sont les implications et surtout les solutions pour une répartition plus équitable du soin en société?